C’était dimanche après-midi et le printemps était gris, plongé dans la tristesse d’un nouveau confinement où nul n’allait sans masque, et un an avait pu passer sans que nous ayons risqué de nous engager loin comme le loup sort du bois. En contournant Billom, nous nous étions garés à l’orée de Mauzun, un peu avant […]
Toute ivresse étant mise à part, cette « tournée des cafés » à laquelle nous conviait le précédent numéro de la Revue du Pays d’Estrées peut paraître comme l’évocation tant rituelle que superficielle d’un genre de vie perdu…